Cristallisations sensibles
Inventée au siècle dernier par E. Pfeiffer à la suite des travaux de Rudolf Steiner dans les années 20 , la cristallisation sensible est une méthode de diagnostic de la qualité vibratoire d'un produit, sous la forme de son extrait aqueux.
Une façon de tester sa cohérence structurale et à travers elle, son niveau d'énergie potentiel et la qualité de cette énergie (quantité, cohérence).
Notre société a fait réaliser par un spécialiste de cette technologie plusieurs tests visant à démontrer le changement de qualité structurale d'une eau avant et après passage dans un osmoseur, équipé ou pas d'un module de régénération et de dynamisation.
L'eau est adjuvée d'un sel de cuivre, le chlorure de cuivre, et il est observé ce qu'il advient après séchage des boites où ont été déposés les échantillons. On examine les formes révélées de cristaux de cuivre, plus ou moins denses et plus ou moins complètes. Les tests sont refaits 10 fois à l'identique dans chacune des conditions de l'expérience, afin de s'assurer de leur reproductibilité.
La conclusion est qu'il est difficile d'obtenir une cohérence cristalline pour des eaux osmosées ou faiblement minéralisées (25 mg/L par litre) comme la Mont-Roucous. Une eau osmosée simple montre une image avec des lacunes nombreuses et sans cohérence jusqu'au bord de la plage de test. Par contre, une eau osmosée à l'identique, mais passée sur céramiques et au travers d'un vortexeur, montre une cohérence des cristaux sur toute la surface de test et une absence de lacune.
Cette cohérence se maintient dans le temps jusqu'à 3 semaines après prélèvement avec une conservation en bouteille de verre.
Eau osmosée simple
cristaux incomplets,
peu cohérents,
avec des lacunes centrales.
Eau osmosée
puis régénérée
et dynamisée
par vortex
cristaux cohérents
sur toute la surface,
sans lacune