Des résidus de médicaments au robinet
En 2001 en Allemagne, plusieurs études ont montré que les cours d'eau et les nappes phréatiques étaient pollués par des résidus de médicaments à doses petites, très variables, mais toujours significatives.
C'est le Ministère de la Santé allemand qui désormais pilote ces études et met en oeuvre des moyens pour contrer cette pollution ; aux USA, plus de 140 rivières sont contaminées par des résidus d'antibiotiques et d'hormones, ce qui entraîne des troubles de la reproduction chez les poissons et un déséquilibre de l'écologie des bactéries !
Et en France ? il n'est pas douteux que ces polluants existent au même niveau qu'en Allemagne ; on y trouve des antibiotiques, des hormones stéroïdes issues de la pilule, des produits de contraste de radiologie, des anti-dépresseurs, des somnifères, des molécules de chimiothérapie anticancéreuse, etc ...
Cette catastrophe sanitaire s'explique par les rejets de chacun au travers des urines et des selles, que ce soit en ville, dans les hôpitaux ou bien à partir de chaque foyer.
L'élimination de ces nombreuses molécules artificielles, le plus souvent de petite taille, ne peut malheureusement se réaliser complètement à l'échelle collective, dans les stations de traitement de l'eau, telles qu'elles sont actuellement construites et organisées (après floculation, oxydation, adsorption, micro-filtration voire nano-filtration).
La seule solution technique adaptée est alors d'osmoser l'eau du robinet puis de la régénérer et de la dynamiser (procédés AQUA AVANTI EM ou AQUADOR), afin de lui restituer sa pureté et son énergie originelles.